Percevoir des revenus

  • Quels seront vos droits à la retraite ? Avez-vous déjà pris des mesures pour les compléter ? (immobilier- financier – contrat retraite)
  • Comment assurer de manière pérenne un train de vie équivalent ?
  • Comment augmenter sa retraite pour un plus grand confort budgétaire ?

Une approche globale permettra d’identifier les sources de financement pour percevoir des revenus complémentaires, par des solutions innovantes tout en optimisant la fiscalité des revenus.

Quelques Exemples

L’assurance vie

L’assurance-vie reste un support à privilégier en vue de récupérer des revenus complémentaires.
Cette enveloppe multifacette permet de combiner les avantages fiscaux au regard de la fiscalité des revenus et de la transmission. Elle permet en outre de moduler des revenus récurrents pour se constituer un complément de revenu.
Le choix du contrat et des supports qui la composent est bien évidemment primordial pour une gestion efficiente.
Les fonds en euros qui ont fait la renommée de l’assurance-vie pendant des décennies et dont les rendements actuels compensent à peine l’inflation seront remplacés par une allocation en lien avec le profil d’investisseur.

L’immobilier Commercial

L’épargnant dispose d’une palette de supports pour investir dans l’immobilier commercial, ce sous-jacent affiche des rendements supérieurs à l’immobilier résidentiel et permet la constitution de revenus complémentaires sous la forme de revenus fonciers ou financiers.

Les contrats « Retraites complémentaires »

Pendant la phase d’activité, la constitution d’une retraite via le PER (Plan d’Epargne Retraite)e cumule les avantages fiscaux (déductibilité des revenus) et la préparation à l’âge de la retraite d’un revenu sous la forme de rentes ou de retraits en fractionnant le capital.
OCEA Patrimoine et Finances analysera la pertinence de choix entre l’assurance vie ou le PER selon votre niveau d’imposition. De manière générale, le PER commence à constituer un avantage fiscal intéressant au delà d’une tranche marginale de 30 % et avec une durée d’immobilisation (âge de la retraite) jugée acceptable.
Cette solution s’avère pertinente lorsque l’imposition est importante en activité et plus faible à la retraite.
Exemple :
Pour un versement de 10 000 € et pour tranche marginale de 30 %, le taux de réduction d’impôt sera de 3 000 €.
A l’âge de la retraite, les sommes récupérées deviennent imposables.